Article : » six résistants face aux Allemands et à la collaboration… »
Les articles sur la période de la Résistance à Messigny et Vantoux traduits par Georges Balliot appellent parfois des réflexions quelque peu désagréables. Vérifications effectuées elles sont à la fois celles de « ceux qui n’ont rien fait » à cette époque où qu’ils aient été en France, de ceux qui n’habitaient pas le village et surtout de ceux que ce passé n’intéresse pas. Pour cet article CARNOVALI vous avez sous les yeux le document affiché à l’auberge de Ste Foy en janvier 1946 ainsi que dans les mairies de Val Suzon, de Messigny et Vantoux. Ce document est à disposition pour une éventuelle consultation par ceux que cela intéresse. D’autres pièces sont disponibles mais nous attendons la décision du Comité du Souvenir et celle de l’amicale des Anciens Combattants pour l’affaire Montigny et la tombe du soldat oublié le sergent Albert Chapuis, Mort pour la France le 18 août 1918.

Reculons dans le temps sur l’histoire du prieuré de Ste Foy envié de tout temps par les Comtes de Saulx-Vantoux. La riche histoire de ce qui fut un site de pèlerinage célèbre pourrait laisser à penser que les seigneurs de Vantoux étaient attirés par le lieu saint et les reliques de la martyre. Que nenni! Alexandre de Saux dit « le jeune » avait tout simplement le béguin pour la très belle et sculpturale chambrière dont il s’empara de force un soir d’automne malgré l’opposition (bien molle) de Jean Boudot, prieur du lieu. La jeune chambrière enfermée au château de Vantoux y subit les affres que l’on imagine. Alexandre de Saux fut condamné pour viol à 20 écus d’or, une somme dérisoire pour un tel acte. Il est vrai qu’il était le descendant de la grande lignée des seigneurs de Vantoux.
LA VIGIE CITOYENNE.