Jean Ris dit :
Cher Vincent,
Nous nous croisions régulièrement jusqu’à ton élection. Tu avais besoin de voix car le rejet de celui que tu as trahi n’était pas aussi puissant que tu le pensais. Tu savais déjà que l’adhésion à ta personne était limité et tu n’en n’as pas tiré toutes les conséquences. Aujourd’hui, tu brilles par ton mépris du commun mais ton aptitude à raser les murs révèle ta lâcheté, sauf envers les femmes.
Comme je te paie tous les mois, j’ai la faiblesse de penser que tu es à mon service et pas l’inverse. Je n’ai donc pas à quémander une entrevue avec toi. Tu dois être accessible et pouvoir être interpellé quand bon me semble. Ce forum permet de le faire et je ne m’en prive pas.
Sans rancune et au plaisir de te lire.
LA VIGIE CITOYENNE.