Lecteur assidu dit :
Monsieur Leprêtre,
Vous avez fait de la VIGIE votre support de communication N°1, eu égard à vos nombreuses interventions sous votre nom ou pseudos.
Dans votre réponse à Brutus, vous invoquez le manque de courage de ceux qui interviennent sous pseudos, or vous en faites partie ! Dans cette même intervention, vous écrivez : « on ne peut pas être bon tout le temps » Vous reconnaissez donc implicitement que dans la grande majorité des cas les écrits de la VIGIE sont justes !
A aucun moment dans cette réponse à Brutus, vous parlez des 6 démissions que vous avez enregistrées. Vous êtes détenteurs d’un bien triste record. Pas un mot sur ces personnes qui ont servi la commune et qui ont eu le courage de démissionner. Vous même, en désaccord avec la gouvernance de Jean-Pierre POTRON, vous aviez préféré rester pour mieux le trahir ensuite.
Autre exemple récent illustrant considération et gestion humaine qui sont les vôtres. Lors du dernier conseil, vous annoncez une promotion d’un échelon. Vous êtes challengé sur la procédure par une conseillère qui vous dit, par 2 fois, ce changement d’échelon se fait par concours et vous lui dites non en ajoutant « de toute façon, cela ne change rien à son niveau de salaire » ce qui a déclenché l’hilarité générale !
Revenons à ce qui vous passionne apparemment : la finance et l’économie. Science dans laquelle vous souhaitez être reconnu. Preuve en est les récents articles du Bien Public ! Rassurez vous les lecteurs de ce journal ne sont pas dupes et n’accorderont pas de crédit aux quelques chiffres que vous mettez en façades masquant une totale immaturité dans les choix stratégiques d’investissements pour la commune de Messigny-Vantoux .
Lors de la réunion du conseil du 7 octobre, votre conseiller à la finance, a présenté une modification à votre budget voté au printemps en vue de l’acquisition des terrains rue des lavières. Cette modification consiste à faire passer 170.000€ d’un chapitre à un autre. Ce qui démontre que la commune n’a pas le périmètre financier pour acquérir ces terrains. Ces 170.000€ avaient été votés et étaient prévus pour des travaux qui devaient se faire et qui, du coup, ne le seront pas ! ! On peut donc s’interroger sur l’utilité de ces travaux !
En grand économiste vous affirmez : « les finances communales sont excellentes et nous permettent de s’autofinancer contrairement à d’autres collectivités » C’est vous qui l’affirmez et cela n’a donc aucune valeur .Votre affirmation ne valide en rien que vous seul avez raison. Là vous n’êtes plus dans l’économie mais dans la politique qui se résume en : comment sauver ma place.
Salle des Fêtes : le prêt de 1 million d’Euros endette la commune pour 20 ans à raison de d’échéance annuelle de 53044 euros.Vous affirmez que c’est pratiquement sûr que les subventions seront à hauteur de 60%, Si c’est pratiquement sûr, c’est donc que ce n’est pas certain ? C’est paradoxal d’avoir un projet d’une telle dimension alors que le comité des fêtes est pour le moins en veilleuse et que vos administrés fréquentent de moins en moins les diverses manifestations. Je serais curieux de voir l’étude de marché et notamment l’étude des besoins.
Au total 2,8 millions d’euros plus les suppléments pour notre commune. A qui cela profite et au nom de quoi un tel projet est né ?
Grand animateur-leader, grand économiste, et maintenant grand stratège politique quand vous écrivez que le rattachement à la métropole dijonnaise sera au cœur du débat de la future campagne électorale. Au nom de quoi vous pouvez dicter quels seront les points à débattre a fortiori sur ce thème. Nous sommes bien d’accord à la différence que la(ou les) futures listes devront donner une image positive, réaliste de notre commune.
En synthèse, des compétences en totale inadéquation avec celles exigées pour la gestion d’une commune. Je vais vous faire un cadeau, aussi je reviendrai vers Vous sur le thème : Braderie Communale !
En 2014, les administrés vous connaissaient comme agriculteur et ne connaissaient pas votre manque de compétence pour le poste auquel ils vous ont élus.
Le 15 mars 2020 : ils sauront !
LA VIGIE CITOYENNE.