
La canicule ne touche pas seulement les humains. La faune et la flore sont aussi touchées. Le Suzon tari de plus en plus tôt et longtemps. Des sources disparaissent chaque année dans les forêts du Val Suzon. L’eau qui alimente le Suzon en hiver est partie vers l’Ouche, la Saône, le Rhône et la mer Méditerranée. Il n’y a plus de points d’eau entre Dijon et Val Suzon. Le gibier, les oiseaux et les insectes doivent beaucoup galérer pour se désaltérer. Une retenue d’eau entre Val Suzon et Messigny serait la bienvenue y compris par les habitants des alentours qui pourraient pique-niquer, pêcher, se détendre comme les Dijonnais qui empruntaient le petit train pour se détendre à la Fontaine de Jouvence.

LA VIGIE CITOYENNE.