Georges BALLIOT DIT :

….. « Que ces droits à la retraite soient aujourd’hui si âprement défendus quoi de plus
logique. Surtout face aux rigueurs de la vie moderne alors que certains baignent dans le
grand luxe. Mais une grande prudence s’impose dans les réactions. Certains veillent et
espèrent « tirer les marrons du feu » Je suis près à parier que, pour ceux là, l’idéal
politique réside dans un grand gâchis social qui leur permettrait d’installer …une petite
dictature. Alors défendre les droits à la retraite oui…mais attention !…. »
Aujourd’hui c’est l’impasse tant redoutée, qu’il fallait éviter. Nous ne sommes plus, dans la
défense légale d’un droit, mais dans la violence extrême. Avec tous les artifices
constitutionnels la réforme est certes votée mais les opposants n’acceptent pas, mais pas
du tout, ces procédures en zig zag. Aussi, pour le clamer, ils redoublent la violence dans
les rues : par des affrontements ou divers feux de déchets.
Le pouvoir en place a le devoir de mettre fin à cette situation intenable. Certes, mais
hélas c’ est loin d’être devenu simple, en ce climat de surchauffe sociale.
Pendant ce temps là, eh oui…certains voient poindre le grand jour qui leur tomberait dans
les bras, comme par enchantement.
Et que dire des élus nationaux qui auront eu la faiblesse d’ouvrir cette redoutable voie
politique, sans une préparation semble-t-il suffisante, soignée et irréfutable, ou chacun
aurait pris sa part de responsabilité, face à l’avenir. Chacun le sait il est des situations
délicates, financières et autres, où l’on ne peut plus tergiverser . Il s’impose d’assumer.
C’est bien là, la mission des hommes politiques, non ? Etre élu n’est pas une faveur MAIS
UN DEVOIR !…même si c’est loin d’être toujours facile.

LA VIGIE CITOYENNE.