Jean RIS dit :
Doit on comprendre que 44 jours avant le 30 octobre, il y aurait eu 2 fois plus d’atrazine dans l’eau ? Cela, pourrait conduire certains esprits chafouins à imaginer que, 23 ans après son interdiction, quelqu’un aurait pu en utiliser, en répandre aux alentours du 15 septembre !!! Cette histoire rocambolesque n’a que trop duré. Vincent mon ami, je te propose de faire arrêter les prélèvements et analyses dont les résultats contribuent à nourrir des fantasmes autour des causes de cette récurrente et mystérieuse pollution. Il ne faudrait quand même pas que cette atrazine vienne aussi polluer certaines candidatures aux prochaines élections municipales. Je compte sur toi.
Prends soin de toi et n’oublies pas tes gouttes.
LA VIGIE CITOYENNE.