– absorbe le carbone et nous rend l’oxygène

– protège : les sols pentus de leur érosion- des avalanches et sur l’ensemble des territoires : des tempêtes de vent, puis au mieux : des réchauffements excessifs

– abrite et protège toute la faune sauvage (plumes et poils)pour notre plus grand plaisir d’ailleurs.

Par son tissu racinaire elle assure le maintien des eaux permettant ainsi la création et la maintenance des sources. De ces sources dont nous avons tant et tant besoin, tout en évitant au maximum, lors des fortes pluies et des fontes de neige, des inondations redoutables dans les vallées.

Non seulement elle apporte un décor paysagé très apprécié mais en plus, l’été, c’est l’espace fraîcheur recherché et apprécié. C’est bien la preuve irréfutable que les forêts luttent contre les réchauffements climatiques et qu’elles doivent être extrêmement protégées. Et non pas , prioritairement, déjà considérées pour le profit que l’on peut en tirer.

La forêt, au vrai sens forestier, par la « sylviculture » doit être déjà traitée pour ce qu’elle apporte à l’humanité. Sa vrai rentabilité est là, et non dans le fric qu’il est possible d’en tirer au plus vite. quitte à lui nuire, sinon à la détruite.

La forêt, respectueusement, en reconnaissance de tout ce qu’elle apporte à l’humanité, mérite d’être suivie avec la plus grande sagesse…par une sylviculture appropriée pour chaque massif selon son sol, son orientation, à partir de son aménagement forestier particulier qui se doit d’être respecté au plus près.

G.BALLIOT.

LA VIGIE CITOYENNE.